Les signes du jeu excessif peuvent être divers. Quelques pistes pour les repérer. 5z5t6h
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Voici les principaux signes ou comportements : 13q59
- Irritabilité, variations d’humeur.
- Recherche de conflit.
- Avoir moins de patience pour les activités quotidiennes ou face à l’entourage.
- Se montrer critique et avoir des jugements arrêtés sur l’entourage.
- Négliger sa famille, ses responsabilités, ses proches, son travail, ou sa propre personne (alimentation, le sommeil, l’hygiène, aspect
- physique) à cause de ces activités ludiques.
- Être en désaccord avec des amis ou des membres de la famille sur les thèmes de l’argent et le jeu.
- Se voir critiquer par l’entourage au sujet du jeu. Ref toute discutions concernant le jeu.
- Avoir le goût pour le secret, de la dissimulation.
- Dissimuler et mentir pour cacher ses habitudes ludiques.
- Masquer ou chercher à dissimuler les comptes, les pertes, les dettes, à son cont et à son entourage.
- Éviter de participer à des rencontres familiales ou sociales pour jouer.
- Tendance à s’isoler. N’avoir que peu ou pas de loisir ou de divertissement différent.
- Absences régulières et sans justification du domicile ou du lieu de travail.
- Absentéisme régulier sans motif crédible à son travail.
- Avoir des retards fréquents et sans justification crédible.
- Demandes d’avances sur salaire ou emprunts d’argent fréquents aux collègues.
- Avoir des problèmes relationnels sur le lieu de travail.
- Se plaindre du manque de perspectives évolution.
- Accumuler les retards de paiements. Vente d’une partie du patrimoine pour rembourser des dettes.
- Emprunter de l’argent et ne pas le remboursé.
- Jouer plus d’argent qu’on ne peut en perdre.
- Manque régulier de liquidités Tendance à l’endettement.
- Fréquence de jeu très élevée. Jouer jusqu’à ses dernières pièces en poche.
- Offrir des cadeaux somptueux, sans rapport avec ses revenus d’activité connus.
- Comportement différent de celui qu’on connaissait auparavant.
- Être fréquemment absorber par ses propres pensées.
- Parler ou penser constamment au jeu.
- Avoir un sentiment de vide sans le jeu.
- Alternance de moments d’euphorie et de déprime sérieuse.
- Avoir un comportements compulsifs.
- Ne pas pouvoir s’arrêter de jouer ou ne pas pouvoir contrôler sa pulsion de ludiques.
- Culpabiliser quand on ne parvient pas à s’arrêter ou s’empêcher de jouer.
- Être sujet aux dépendances croisées comme le tabagisme, l’alcoolisme, les toxicomanies en plus du jeu.
- Vouloir jouer d’avantage pour récupérer ses pertes.
- Penser que gagner le gros lot est la solution à tout ses problèmes.
- Chercher à atteindre un certain niveau d’excitation en misant de fortes sommes.
- Souhaiter vivre des émotions fortes comme l’euphorie, excitation, et même la déception en jouant.
- Jouer pour oublier ses problèmes personnels.
- Planifier ses congés de façon à pouvoir jouer au maximum même loin de chez soi.