Les bus publicitaires Winamax roulant sans agers épinglés sur Twitter 🌞. 2u3d5e
des actualités plus fun que ces pubs franchement loupées. 15603v
La première image de cette page est issue d’une vidéo de Fabien Tipon and co postée sur Twitter.Le bad buzz des bus publicitaires Winamax : 585s6m
Rappel des faits : 4l564o
Pendant plusieurs semaines, des bus publicitaires Winamax ont sillonnés les villes de plusieurs grandes métropoles françaises dont Bordeaux, Paris, Toulouse, Lille, Lyon. Ces bus publicitaires étaient recouverts de films plastiques blanc sur lesquelles on pouvait lire des slogans publicitaires pour Winamax tel que « Ma devise dans le foot c’est l’argent », “Un poteau peut vous rapporter une barre”, “Devenir riche sur un coup de tête” et “Grosse cote, gros gain, gros respect”, ainsi que le logo de Winamax.
Pourquoi ces bus publicitaires Winamax posent problème ? 1n4tg
En premier lieu, comme les bus étaient presque intégralement recouvert de publicité, ceux-ci contrevenaient à la loi française sur surface d’affichage qui ne peut pas excéder 12 m carrés par véhicule. Ensuite, selon les dires de très nombreux témoins, ces bus roulaient à vide, c’est-à-dire qu’il polluaient non seulement les poumons des riverains, mais aussi la planète en émettant du CO2 inutilement, sans parler de la gêne visuelle à la seule fin de promouvoir la marque au W rouge. Les slogans qui recouvraient une partie des bus publicitaires Winamax faisaient la promotion de l’argent, davantage que du sport. Tous ces éléments additionnés ont créés un très rapidement un bad buzz autour de cette campagne des bus publicitaires Winamax.
Les dénonciations des citoyens : 552h2p
De nombreux citoyens ont postés des messages indignés sur les réseaux sociaux comme Twitter, dénonçant les bus publicitaires Winamax qui circulait à vide dans les rues de leurs agglomérations telle que Lille, Bordeaux, Paris, Lyon, Toulouse.

Bonjour @WinamaxSport @Winamax le bilan carbone du bus vide qui circule dans #Bordeaux depuis 3 semaines est bon ? pic.twitter.com/qpnicHYDDO
— onsieur 14 (@Monsieur14_) 28 octobre 2019
Ce qui a le plus choqué les habitants des grandes villes c’est que c’est bus publicitaire était des autocars spécialement affrétés pour rouler à vide et sillonner la ville comme des panneaux publicitaire géant et qu’ils circulaient à vide.
Les réactions politiques des adts au maire de la ville de Paris : 5k2jc
Christophe Najdovski, adt aux Transports de la ville de Paris a souligné sur son fil Twitter qu’il s’agissait d’une « campagne publicitaire polluante, irresponsable et bien sûr illégale ». Emmanuel Grégoire, premier adt à la maire de Paris, a pour sa part, annoncé son souhait de porter plainte. Il faut dire qu’avec ces bus publicitaire, le règlement local de la publicité était clairement enfreint : « La publicité apposée sur les véhicules terrestres équipés ou utilisés à des fins essentiellement publicitaires est interdite. » Tout comme la loi sur la surface publicitaire apposée sur les véhicules (plus de 12 M2). De plus, faire rouler un bus à vide, à seule fin publicitaire constitue une nuisance polluante dommageable pour l’environnement et pour tous ceux qui ont à respirer l’air vicié produits par ce moyen de locomotion.

Et c’est « fun » de faire tourner en rond depuis des jours des bus sans aucun ager dans Paris ? La pollution ça vous parle ? Pour votre info c’est illégal (Article R581-48 : « La surface totale des publicités apposées sur chaque véhicule ne peut excéder 12m² ») @Parisjecoute
— Baptiste G. (@BaptisteG__) 28 octobre 2019
L’arrêt de la campagne de bus publicitaire de Winamax : 2x41l
Peu après le début des polémiques, Winamax a fait savoir qu’elle cessait sa campagne de bus publicitaire. Il est cependant regrettable que les dirigeants de Winamax qui sont d’habitude plus prévoyants, n’aient pas anticipé à quel point ce type de campagne publicitaire pouvait être néfaste pour la marque autant que pour l’environnement. On peut aussi regretter que les arguments donnés par Winamax pour se justifier aient été aussi navrants. En effet, t par le magazine Le Point, Winamax aurait affirmé « On a été alertés par Twitter, et on a arrêté la campagne dès qu’on a su que les bus n’étaient pas électriques ».
Affichage sauvage poser sur les murs de Paris : 3r556n
La polémique des bus publicitaires de Winamax n’est pas la seule avec cette nouvelle campagne. En effet, plusieurs affiches sauvages ont été posées sur les murs de Paris, c’est-à-dire sans autorisation. Plusieurs de ses affiches porter la mention ”c’est à la troisième mi-temps que je suis le meilleur”. Ces affiches, dont les slogans n’ont rien de drôle, étaient surtout étaient posées sans autorisation, certaines recouvrant même des fresques. Bref il s’agit d’une campagne de pub complètement loupée, qui n’a suscité que du bad buzz, autant avec les bus publicitaires Winamax qu’avec les affiche collées à la hâte et sans discernement dans les rues de la capitale. On ne serait trop conseillé à Winamax de changer radicalement d’agence de communication ! Winamax mérite beaucoup mieux que des campagnes de pub dégueulasses, stupides et polluantes (émissions de carbone) autant pour les poumons que pour la planète et pour les yeux.

Le Respect est où chez @Winamax ? 😠
— Jeanjerome (@Jeanjerome_jj) 24 octobre 2019
Détruire notre fresque ( @eddiecolla / @Jeanjerome_jj ) pour de l’affichage publicitaire, c’est sérieux.
• Respect is where at @Winamax? 😠
Destroying our Wall for advertising display is serious.@Anne_Hidalgo@afpfr @Reuter#StreetArt pic.twitter.com/ZZdBK9NUPl
L’affichage sauvage a été constaté à Paris, dans le 5e arrondissement rue des Boulangers, dans le 18e arrondissement au 37 boulevard de la Chapelle et également dans le 9e arrondissemen,t dans la rue papillon.
Conclusion d’une campagne de publicité loupée : 4j2a6e
Pour ma part, j’espère que Winamax fera rapidement le ménage et virera à coup de pieds dans les fesses les auteurs de ces publicités minables (régie publicitaire Altercom) et choisira à l’avenir de meilleurs conseillers en communication. Je serais même assez satisfait si Winamax demandait une réparation financière pour le bad buzz à ces communiquants de bas étages.